Carton rouge

La musique s’unit au verbe dans une performance de poésie combattante, mettant en lumière le parcours du militant dans toutes les étapes de la lutte. De la prise de conscience à l’échec en passant par la révolte et l’action directe, Carton rouge est une ode à la révolte des individus face à un système inégal et destructeur. Émergeant de l’énergie déployée par ceux et celles qui s’opposent farouchement à l’ordre économique établi, cette soirée libre et décomplexée mobilise la parole pour défendre le vivant dans toute sa complexité.

Réunissant sur scène des artistes qui cherchent à offrir une résistance aux diktats du monde qui les entoure, Carton rouge fait des mots et de la musique une arme ultime, une poésie guerrière dénonçant les injustices et les dangers de notre époque. C’est une soirée où l’humain se mesure à des forces et une fatalité plus grandes que lui. C’est un combat où l’artiste sortira brisé, mais assurément vainqueur.

  • Sébastien Dodge
    (incluant des poèmes de
    Mathieu Gosselin)

  • Martin Faucher

  • Philippe Brault
    Benoit Côté
    Sébastien Dodge
    Myriam Fournier
    Mathieu Gosselin
    Anne-Marie Levasseur

  • Régie
    Joëlle Gagnon

    Costumes
    Linda Brunelle

    Scénographie
    Max-Otto Fauteux

    Éclairages
    Marie-Aube St-Amant-Duplessis

    Musique
    Philippe Brault et
    Anne-Marie Levasseur

    Arrangements musicaux
    Benoit Côté

    Sonorisation
    Christophe St-Denis

    Direction de production
    Marie-Hélène Dufort

    Direction technique
    Joëlle Gagnon

    Relations de presse
    Daniel Meyer


  • Au Centre du Théâtre d’Aujourd’hui du 27 novembre au 7 décembre 2024

    Une création de La Banquette arrière en codiffusion avec le Centre du Théâtre d’Aujourd’hui

    Durée du spectacle — 1h25

 

Extrait

«Jours après jours construction mensongère
En fait, plutôt destruction financière
En fait, plutôt saccage d’la biosphère 
À moins qu’ce soit le viol d’la terre nourricière 
Ou profanation de l’entièreté de notre chaire»

 

Photos — Bruno Guérin